Considérée comme une danse sexuelle et interdite par les premiers missionnaires, ce n’est qu’à la fin du 19e siècle qu’elle redevient autorisée. Depuis lors, cette danse est poussée à être pratiquée pour ne pas être oubliée et ainsi préserver l’héritage culturel polynésien. Désignée sous le nom de ‘ori Tahiti, la danse tahitienne connaît un succès grandissant depuis une trentaine d’années. En substance, le ‘ori Tahiti désigne une forme d’expression reposant sur une technique de danse traditionnelle. Il met en exergue une distinction des genres (hommes/femmes) dans l’exécution des pas et selon les rythmes des percussions ou des chants interprétés.